Warhammer Battle

Le combat des chefs

Mon ami Manu et moi, nous avons un rendez-vous annuel auquel nous ne dérogeons pas depuis quelques temps: un choc entre deux armées lors d'un affrontement Warhammer Battle V4. En fin d'année 2024, nous avons décidé de faire s'affronter nos peaux-vertes. Manu venait de terminer la peinture de ses gobelins et moi je n'avais qu'à ressortir mes orques. Grom allait venir sur les terres lilloise pour essayer de s'imposer.

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Rien ne saurait plus remuer leur cœur noir d’un poltron de Gobelin que le nom de Grom, le plus puissant de tous les Chefs de Guerre Gobelins. À la tête de son armée, Grom avait pris la décision d'assoir sa domination sur la tribu orque du Seigneur Briselesos, un défi que ce dernier n'était probablement pas prêt à relever. 

Alors que les premières lueurs du matin perçaient l’horizon, l’armée de Grom se tenait déjà aux abords du village, prête à semer la terreur. Ses rangs étaient vastes et variés : une unité de bandes de chasseurs de squigs,  une catapulte à crânes prête à écraser l'ennemi sous des projectiles dévastateurs, et une unité d'orques sauvages accompagnée de son chaman pour semer des maléfices et briser les rangs ennemis. L'armée comportait également une unité de Kostos orques, solides et redoutables au corps-à-corps, soutenue par des archers gobelins de la nuit, véritables maîtres des attaques sournoises à distance. Autour de cette armée se tenaient aussi les chevaucheurs de sangliers orques sauvages, hurlant et assoiffés de violence aveugle, des rétiaires gobelins de la nuit prêts à piéger quiconque se rapprocherait de trop près, ainsi qu'une catapulte à plongeur de la mort, capable de détruire des formations entières d'un seul tir. À l’avant-garde, se tenaient des chevaucheurs d’araignées gobelines des forêts, tandis que des chevaucheurs de squigs fendaient les rangs dans un tumulte de sauts et de crocs. La tribu de Grom n'était pas venue pour demander des comptes : elle était là pour conquérir.

L'armée de Grom la panse s'aventure sur des terres dangereuses.

Mais Grom déchanta rapidement lorsque l'ombre de Briselesos, monté sur sa wyverne, coucha les rayons du soleil. Le Seigneur orque n'était pas du genre à être pris par surprise, et il avait préparé une bien désagréable réception pour Grom. Sous les ailes battantes de sa monstrueuse monture, le pas lourd de ses troupes résonnait, implacable. Les puissants hallebardiers de Ruglud's, en formation serrée, avançaient d'un pas martial, drapeau en tête, leur courage soutenu par le son de la corne de guerre qui hurlait à la gloire de leur régiment. Sur la gauche, une puissante troupe d’arbalétriers se déployait, prête à faucher toute unité qui tenterait de s’approcher, tandis que le centre de l’armée de Briselesos était solidement tenu par deux autres régiments d’infanterie orque, flanqués d’une troupe d’archers impressionnants, dont les projectiles pleuvraient sur Grom et ses troupes. En y regardant de plus près, Grom aperçut une silhouette discrète, un chaman gobelin dissimulé derrière les orques, probablement pour invoquer les dieux dans le chaos de la bataille à venir. Puis, dans un fracas sinistre, le grincement des roues d’un char de guerre se fit entendre. Et enfin, comme un dernier présage de la puissance de Briselesos, un scorpion géant fit son apparition, ses pinces cliquetant sinistrement. Non loin, une unité de trolls se tenait prête, leurs crocs acérés et leurs griffes monstrueuses promettant souffrance et mort. Briselesos se posa en plein cœur de son armée, sa wyverne poussant un  terrifiant rugissement de défi, auquel les loups de Grom répondirent en écho, prêts à en découdre.

Le seigneur orque Briselesos relève le défi de Grom.

Le signal de la bataille fut donné par les chevaucheurs de squigs gobelins qui, dans une explosion de folie, s'élancèrent vers les lignes orques. Ils bondirent, poussant des glapissements de joie, la frénésie des squigs se mêlant à leurs rires fous. Mais cette euphorie se transforma rapidement en cris de terreur, lorsque les flèches effilées et empennées de noir commencèrent à faucher leurs rangs. Les archers de Briselesos, postés en formation solide, firent pleuvoir leurs projectiles avec une précision implacable, réduisant en lambeaux les premières lignes de l’assaut gobelin. Les squigs et leurs cavaliers furent pris dans une pluie de flèches mortelles et leur avancée soudainement freinée. Les rares survivants, totalement fous et immunisés à la psychologie, poursuivirent leur avancée avec une détermination frénétique, mais il était évident que l'assaut ne pourrait aboutir. Cependant, Grom ne se laissa pas abattre pour autant : la bataille ne faisait que commencer.

Les chevaucheurs de squigs sont bien incapables de ressentir la moindre peur.

Briselesos donna à son tour l'ordre à son armée d'avancer et de châtier ce stupide gobelin à la panse trop rebondie. Le Seigneur orque, furieux de l’audace de Grom, ordonna à ses troupes de marcher sur lui sans merci. Le centre orque avança en rang serré, tel un rouleau compresseur nain, écrasant tout sur son passage. En tête de l’assaut, les puissants hallebardiers de Ruglud's se tenaient prêts à percer les lignes gobelines. Leur fer brutal scintillait sous le soleil alors qu'ils se dirigeaient vers l’ennemi, suivis de près par les régiments d’infanterie orque. La terre tremblait sous leur avance, et il était clair que Grom et ses troupes allaient devoir faire face à un choc de forces titanesques.

Un gobelin de la nuit ravage les rangs des puissants hallebardiers.

Mais le choc fut pour les hallebardiers orques, lorsqu’un fanatique gobelin surgit soudainement des rangs des archers gobelins de la nuit. Son boulet tourbillonnait dans les airs avec un mugissement sinistre, écrasant tout sur son passage. Il s'enfonça dans les rangs des hallebardiers de Ruglud's, fauchant soldats et hallebardes dans un tourbillon de violence. Gudruk Bonechewer, le grand chef de l’unité, ne put que constater, impuissant, le massacre qui se déroulait sous ses yeux : plusieurs de ses séides gisaient au sol, leurs membres brisés, leurs armures enfoncées sous la violence du passage du fanatique. L’horreur se lisait sur son visage, mais ce n’était pas ce qui le préoccupait le plus. Le pire, c’était que le fanatique gobelin se trouvait désormais en plein cœur de son régiment, tel une balle enragée prête à semer encore plus de carnage parmi ses troupes. Le chaos était désormais total.

Une ligne de feu ne peut résister à la poussée d'une colonne d'attaque.

Briselesos s'était préparé à la présence des fanatiques, sachant que ces détestables créatures étaient une caractéristique intrinsèque des armées gobelines. Mais la malchance, cette fois-ci, avait voulu que ce fou furieux franchisse une distance incroyable, bondissant hors de contrôle pour atteindre sa troupe d’élite. le seigneur orque ne put que crier de rage, mais le pire était à venir. 

Les cieux s'ouvrirent soudainement dans un éclat aveuglant, et la main colossale de Gork apparut au-dessus du champ de bataille. La pression du pouvoir total du chaman orque sauvage se fit ressentir, et dans un éclair de magie brute, l’unité de Kosto de Grom fut transportée, comme par un souffle divin, directement au contact des arbalétriers orques qui s'étaient déployés pour faucher les rangs des gobelins. L’impact fut brutal et sans appel : la colonne d’attaque des Kostos écrasa la ligne des arbalétriers. Ceux-ci furent soit massacrés dans l’instant, soit se débandèrent dans un désordre chaotique, incapables de résister à l’assaut. Le rire tonitruant de Grom résonna à travers la vallée, porteur d’une certitude : les dieux étaient avec lui. Briselesos, furieux, battit rageusement les flancs de sa wyverne et s’éleva dans les nuées, cherchant à analyser la situation d’un œil acéré. Les vents de la guerre soufflaient fort, et il lui fallait réagir vite avant que l'équilibre de la bataille ne bascule totalement.

Le flanc droit des orques reste statique alors que Grom s'approche.

Depuis les hauteurs, la situation paraissait bien complexe. Sur le flanc gauche, le fanatique continuait à tournebouler au milieu de la ligne de bataille des orques, semant la panique et l’incompréhension parmi les rangs. Les arbalétriers survivants n’étaient plus que de lointains points visibles à l’horizon, et les trolls, d’ordinaire prêts à semer la destruction, refusaient obstinément d’obéir à la moindre injonction. Ils se contentaient de traverser le champ de bataille sans direction ni objectif, leur désorganisation créant un chaos supplémentaire.

Les hallebardiers de Ruglud's perdent la moitié de leur effectif suite à l'assaut du fanatique.

Sur le flanc droit, encore non engagé, la situation semblait moins catastrophique, mais ne prêtait pas à rire. En effet, suite à divers désaccords quant à la couleur des yeux de Mork, un sujet de grande importance chez les orques, les régiments étaient restés figés, incapables de bouger, l’argumentation sur l’interprétation des signes divins ayant paralysé leur avancée. Grom, immonde et sournois, avait bien profité de cette situation et s'était habilement rapproché, à portée de charge, avec ses chevaucheurs de sangliers en soutien. Le choc allait être violent, et l'issue incertaine.

Grom et ses chevaucheurs ont l'occasion de bousculer les troupes orques.

Briselesos, les nerfs à vif, retint son souffle lorsqu’il aperçut Grom donner le signal. Un cri de guerre déchaîné fut lancé par le Seigneur Gobelin, qui chargea avec une fureur inouïe vers la ligne de bataille ennemie

Mais les dieux orques sont inconstants, et Grom allait en payer le prix. Il s'élança seul sur l'ennemi, déterminé à mener son assaut au cœur des rangs orques. Et la chance, toujours capricieuse, tourna contre lui. En effet, les chevaucheurs de sangliers, ayant prêté l’oreille aux discussions dans les rangs ennemis, s'intéressèrent soudainement au sujet de la couleur des yeux de Mork. Le débat qui se poursuivait avec véhémence parmi les orques les détourna de leur chef, et ils ne suivirent pas Grom dans l'assaut. 

Sur le flanc droit de l'armée de Grom, ses Kostos  après leur victoire éclatante sur les arbalétriers orques, passèrent leur temps à se féliciter et à se congratuler, totalement indifférents à l'issue de la bataille et plus soucieux de leur gloire que du prochain mouvement à effectuer. Ils n'avaient pas remarqué que la situation se compliquait. Au contraire, ils restaient figés, discutant bruyamment de leur exploit, ratant ainsi une occasion de porter le coup de grâce.

Le char de Grom est désormais immobilisé au contact des troupes ennemies.

L'hallali de l'armée de Briselesos avait tourné court. Grom n'avait même pas réussi à défaire l'unité de guerriers orques sur laquelle il avait lancé son char à pleine puissance. Le choc, qui devait être décisif, se révéla au contraire infructueux. Les guerriers orques, solides comme des montagnes, résistèrent à l'impact avec une ténacité surprenante. Le char, bien qu'imposant et redoutable, se heurta à la résistance des orques, qui réussirent à le repousser et à briser l'élan de l'attaque. Grom, enragé, tenta de se dégager, mais la situation lui échappait déjà. Ses troupes étaient trop dispersées, trop désorganisées, et son assaut, loin d'infliger un coup fatal, ne fit que raviver la cohésion de l'armée orque.

Briselesos n’allait pas laisser passer sa chance. Après un cri de rage, il avala sa potion de force, sentant une énergie nouvelle envahir son corps, et brandit sa terrible lame de lacération. Sa wyverne, au cri de son maître, se lança dans une descente vertigineuse, piquant directement vers les chevaucheurs orques sauvages. En même temps, Briselesos ordonna mentalement au scorpion géant, toujours posté en arrière, de charger à son tour, ses pinces prêtes à déchirer tout sur leur passage.

Le flanc gauche des orques est désormais à l'offensive.

À l'autre bout du champ de bataille, le destin du fanatique s’accomplit dans une éclatante scène de chaos. Il se retrouva étranglé par la chaîne de son propre boulet, tombant dans un spasme mortel qui libéra les rangs orques. La fin du fanatique redonna une bouffée d’air à l’infanterie orque. Les hallebardiers de Ruglud's reformèrent leurs rangs avec une discipline de fer, prêts à poursuivre le combat. La seconde unité de guerriers orques, voyant l'opportunité, s’élança dans une charge courageuse contre les Kostos de Grom, qui, toujours en pleine discussion sur leur action d'éclat, ne remarquèrent pas immédiatement l’attaque.

Les troupes de choc de Grom sont paralysées par l'animosité sans se chercher querelle.

Sur toute la ligne de front, la mêlée devint confuse, chacun cherchant à percer à travers l'autre. Mais si les orques prenaient clairement l’ascendant sur l’armée du seigneur gobelin, aucune troupe, qu’elle soit gobeline ou orque, ne céda à la panique. Les hurlements de la bataille se mêlaient aux bruits métalliques des armes s’entrechoquant. Chaque chef savait que l'issue de ce combat pourrait basculer d’un instant à l’autre.

Le seigneur Grom est en bien mauvaise posture.

Les troupes de Grom étaient en grande difficulté, mais elles n’étaient pas encore vaincues. Son char, bien qu’une machine de guerre redoutable, semblait désormais une proie facile face à la fureur implacable des orques. Grom, dans un geste de défi, chercha à se dégager de la masse imposante de ses ennemis, mais un événement inattendu réduisit à néant tous ses espoirs. Un plongeur de la mort, faisant partie de sa propre armée, s’écrasa malencontreusement sur son attelage, tuant tous les loups qui le composaient dans une explosion de chair rougie. Grom, abasourdi, assista impuissant à la chute du gobelin lancée à pleine vitesse, réduisant son propre char à l’impuissance. La bataille ne se déroulait vraiment pas comme prévu. La force brutale de l’armée orque, unie et disciplinée, commençait à prendre le dessus sur l’ardeur chaotique de ses propres troupes.

Les chasseurs de Squigs se sentent bien seuls.

Sur le flanc droit, les fantassins orques sauvages, imperturbables, ne comprenaient pas l’étendue du problème. Lorsqu’ils aperçurent les chasseurs de squigs se lancer dans une frénésie désordonnée, chargeant seuls pour soutenir les Kosto, ils éclatèrent de rire. Les orques fanatiques se réjouirent de la scène, voyant dans cette charge suicidaire une “bonne blague” qu’ils venaient de faire aux gobelins. Ils observaient les squigs se lancer dans une attaque désespérée contre les lignes orques, mais leur hilarité ne dura pas longtemps. La charge des chasseurs de squigs se transforma rapidement en un véritable massacre. Les squigs s’écrasèrent contre les murs de l’ennemi, se faisant faucher par les armes orques dans un fracas sanglant. Cependant, la distraction fut suffisamment efficace pour sauver les Kostos, qui, sans cette diversion, auraient été écrasés sous la force des charges orques. 

Les orques sauvages s'installent pour profiter du spectacle de la bataille.

Pour les chevaucheurs de sangliers, le cauchemar ne faisait que commencer. L'épée de lacération de Briselesos taillait un chemin sanglant à travers leurs rangs, chaque coup étant une promesse de destruction. La wyverne du seigneur orque labourait de ses griffes acérées les sangleboucs, et le scorpion géant, avec une jouissance évidente, éliminait les orques emplumés, ne laissant derrière lui que la désolation. En quelques instants, les rangs des chevaucheurs de sangliers furent réduits en miettes, leur résistance brisée par la violence de l'attaque. Il ne resta bientôt plus que le chaman de Grom pour se dresser face à Briselesos.

***

La bataille touchait à sa fin. Grom, dans un ultime geste  désespéré, poussa Makari à se sacrifier en lançant un défi au chef des fantassins orques. La mort de la grande bannière, ultime symbole de l'armée gobelin, permit à Grom de repousser brièvement les troupes orques au contact avec lui. Ces derniers fléchirent et se désengagèrent pour mieux se reformer. Cependant, ce succès fut fatal : Grom, désormais sans protection, devint une cible idéale pour les archers . Les traits sifflèrent et se plantèrent dans sa chair, le fauchant lentement sous un déluge de projectiles.

Briselesos se dresse triomphant au centre du champ de bataille.

La wyverne de Briselesos referma finalement ses mâchoires sur la tête du chaman orque sauvage, mettant un terme brutal à ses tentatives désespérées de sauver la situation. Le seigneur orque laissa échapper un rugissement de triomphe tandis que sa monture dévorait son ennemi.

Les chevaucheurs d'araignée arrivent trop tard pour influer sur le cours de la bataille.

Les trolls, quant à eux, eurent le plaisir de tomber sur une malheureuse troupe d'archers gobelins. Après avoir dévoré ce qu'ils purent, ils reprirent leur errance à travers le champ de bataille, traversant les lignes gobelines avec une indifférence grotesque, avant de disparaître dans la zone de déploiement ennemie. 

Le repas est servi !

Les chevaucheurs d'araignées, qui avaient effectué un large contournement des lignes, décidèrent qu'il était temps de retourner à leur sombre forêt, leur mission désormais sans intérêt. Ils se faufilèrent discrètement entre les belligérants, ne laissant derrière eux que des ombres sinistres.

Quant aux fantassins orques sauvages, toujours aussi peu enclins à engager un quelconque combat, ils s'assirent finalement sur le champ de bataille, observant sans se soucier de l'issue, et commencèrent à déguster les restes des gobelins déchiquetés, se moquant ouvertement des combats qui se déroulaient autour d'eux.

Les trolls quittent tranquillement le champ de bataille. Ont-ils eu conscience des évènements ?

Briselesos, du haut de sa wyverne, sourit de toutes ses crocs jaunes. La victoire était totale. Les gobelins ne s’aventureraient pas de sitôt sur ses terres. La bataille était un exemple de la domination implacable des orques sur leurs ennemis, et Grom, ce chef vaniteux, était désormais qu’un souvenir sanglant dans l’histoire de Briselesos.

Conclusion

En conclusion, cette bataille a été un moment vraiment cool partagé avec mon ami Manu, alias Grom la Panse. Entre éclats de rire et rebondissements improbables, la règle d’animosité des peaux-vertes a transformé le champ de bataille en un véritable chaos. Manu a largement dominé les trois premiers tours, mes troupes préférant se chamailler plutôt que combattre, et la carte "Pouvoir total" des vents de magie a magistralement transporté ses Kostos en plein cœur de mon armée, me plaçant dans une situation complexe avec un fanatique qui faisait des ravages en parallèle.

Mais tout a basculé au tour 4 : l’armée de Grom s’est retrouvée paralysée par une vague d’animosité, tandis que mes régiments, enfin disciplinés, se sont ralliés pour reprendre le contrôle de la situation. Le coup de grâce moral pour les gobelins a été l’élimination des loups de Grom par... un plongeur de la mort gobelin ! Cette ironie du destin a scellé l’issue de la bataille.

Au final, que demander de plus qu’un bon moment autour d’une table, à raconter et vivre les péripéties absurdes de Warhammer ? Merci Manu pour cette partie inoubliable, et vivement la prochaine !